Un ou plusieurs loups font fuir le gibier de l’autre côté de la frontière, en Ardenne. Les chasseurs sont remontés.
Selon nos confrères de L’Avenir, les chasseurs ont fait récemment des « chasses blanches », deux jours de suite, dans le Centre Ardenne. Autrement dit, ils sont rentrés bredouille de leur expédition. Une situation inédite qui a le don de les mettre en colère, tant les enjeux financiers sont importants à la fois pour le propriétaire ou détenteur du droit de chasse et le chasseur.
Tous semblent avoir trouvé le responsable de leurs déboires : le loup. Certains affirment l’avoir vu rôder sur le territoire, même si officiellement, le loup n’est pas encore installé dans le Luxembourg. Et c’est cette présence qui expliquerait que le gibier fuit, malgré le soin qu’apportent certains propriétaires à ce que leurs terres en soient pourvues.
D’après les chasseurs rencontrés par L’Avenir, si tuer un loup, une espèce protégée en Europe, relève d’un acte de braconnage sévèrement puni par la loi, d’aucuns songent à le tirer : »Que quelques fortes têtes soient capables d’en tirer un, je ne l’exclus pas. Mais ce n’est pas la majorité. Cela étant, je pense effectivement qu’il faudra faire avec dans les prochaines années », rapporte l’un d’entre eux.
La façon de gérer la présence du loup en Wallonie fait, depuis 2018, l’objet d’un « Plan pour une cohabitation harmonieuse avec le loup ».
Retrouvez l’article complet ici : En Ardenne, des chasseurs sont-ils prêts à tirer un loup ?
En colère les chasseurs. C’est du foutage de gueule.
L’être humain se prend pour Dieu. Si on continue sans prendre en compte l’extinction de la faune sauvage, il n’y aura plus d’animaux dans une trentaine d’années.
Dieu n’existe pas.. ! Quant au canis lupus il n’est nullement en voie d’extinction et son retour n’est que le reflet de pathologies d’adultes niais et infantiles… !
On dirait plutôt que c’est vous qui vous prenez comme Dieu quand on vous rencontre en forêt, en plus d’après votre commentaire il semble que vous ne comprenez rien aux interactions entre animaux en milieu « naturel ».
Faut commencer à contrôler la population comme pour chaque animal sauvage. Plus besoin de protection s’il y a assez.