En recrutant Stéphane Leoni, présenté mercredi, le Progrès a recadré sa politique, fait un mea-culpa et fixé le cap de ses ambitions.
Au surlendemain du limogeage de Roland Vrabec et de l’annonce du recrutement de Stéphane Leoni pour lui succéder sur le banc de touche, le directeur du Progrès Niederkorn, Thomas Gilgemann, s’est livré à un étonnant mea-culpa lors de l’intronisation de son nouveau coach. «On a fait des choses incroyables ces sept dernières années, mais avec le temps, on a égaré nos valeurs. Le staff n’était pas seul responsable. Nous aussi, dirigeants, devons prendre notre part de responsabilités. On a beaucoup voulu professionnaliser et on y a perdu ce petit supplément d’âme. On impulse aujourd’hui un léger changement de cap et, croyez-moi, ce côté familial, on va le retrouver.» Assis à ses côtés, l’ancien défenseur ...Cet article est réservé aux abonnés.
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