Le coronavirus a enfanté une petite mais réelle génération de retraités précoces. Parmi eux, l'ancien international Massimo Martino, que «le confinement a beaucoup fait réfléchir.» Et qui veut «vivre autrement».
Il y a quelques années, quand Le Quotidien offrait chaque samedi à ses lecteurs une rubrique intitulée «Entrez, c'est privé», Massimo Martino, qui n'était pas encore défenseur de l'UN Käerjeng, s'était fendu, et de loin, du fantasme le plus fou qu'il nous ait été donné d'entendre, ce qui nous l'a rendu attachant, dans la rubrique des doux dingues qui sortent du lot, et qui justifie aujourd'hui que dans la cohorte de ces joueurs qu'on ne reverra plus sur un terrain, ce soit lui plus ...Cet article est réservé aux abonnés.
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