Jempy Drucker, finalement reclassé à la 43e place dimanche soir, s’est réveillé en bonne forme lundi. Avec le sentiment d’avoir terminé un Paris-Roubaix historique.
Figurez-vous que lundi matin, Jempy Drucker s’est réveillé presque comme une fleur, chez lui au Luxembourg. Dimanche soir, il avait effectué le trajet retour en voiture et en famille depuis Roubaix, le temps de faire redescendre une pression maximale. Loin, bien loin, de la représentation iconographique de ces coureurs de Paris-Roubaix, mués en guerriers impavides et maculés de terre de la tête aux pieds. C’est évidemment toutes ces images qui resteront pour longtemps encore dans l’inconscient collectif lorsqu’on évoquera ce Paris-Roubaix 2021 disputé au mois d’octobre, ce qui ne manquera d’ailleurs pas d’arriver…
«Tout le public attendait ça depuis longtemps, un Paris-Roubaix avec beaucoup de boue et sur le bord de la route, on ressentait qu’on vivait une course historique, le mythe était poussé à son paroxysme. D’ailleurs, nous aussi, nous ...
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