L'US Hostert s'élancera avec l'étiquette du relégable en puissance. C'est déjà arrivé plusieurs fois et ça ne l'a jamais empêché de surprendre.
Henri Bossi avait donné au Quotidien, le 12 mars, la dernière interview footballistique dans le monde d'avant. Celui qui n'avait pas le coronavirus. Il venait de remplacer René Peters au pied levé et disait, à l'époque, sans savoir qu'il ne dirigerait plus un match de la saison : «J'ai tout à perdre à revenir.» Et il est resté. Il a depuis perdu des joueurs cadres (Desevic, Dervisevic, Pleimling, Stumpf…) et la DN est passée à seize avec beaucoup d'équipes qui se sont renforcées comme pour partir à la guerre. Pendant ce temps, Hostert a fait ...Cet article est réservé aux abonnés.
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