Cinq jours après la tempête de dimanche dernier, les clubs hôtes de la semaine passée constatent les dégâts : leurs pelouses vont leur faire vivre un enfer d'ici à l'été.
Comment va notre terrain? Pfff, il vaut mieux que je ne dise rien.» Nicolas Grézault a perdu toutes ses dernières illusions. Pire, le coach de Pétange est comme tous ses homologues de clubs ayant fait leur reprise à la maison, dimanche dernier, c'est-à-dire complètement coincé : il hésite entre : 1) ravaler ses griefs pour ne pas se faire encore plus de torts et 2) régler ses comptes.
Après les hectolitres de pluie qui se sont abattus ...
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