Les journalistes du service des sports du Quotidien reviennent sur un ou plusieurs faits marquants d'une année 2020 transfigurée par la pandémie de Covid-19. Aujourd'hui, le basket.
Fin février, l'équipe nationale passe tout près d'un succès face au Kosovo. Mais une gâchette visiteuse s'est réveillée au pire moment et a privé les hommes de Ken Diederich d'une victoire qui leur tendait les bras. À peine le temps de se remettre de ses émotions qu'il faut enchaîner avec un championnat passionnant comme rarement. Une pause de deux semaines est ensuite prévue, le temps pour les protagonistes du premier grand rendez-vous de la saison, la finale de la Coupe, de pouvoir se tenir. Sur le papier, l'affiche est alléchante, avec des Musel Pikes revanchards d'un côté et, de l'autre, une formation ettelbruckoise tenante du titre. Le petit monde du basket luxembourgeois se réjouit d'une telle opposition dans quelques jours à peine… seulement, de-ci delà, on commence à entendre une musique quelque peu désagréable : « On fera ce qu'on nous dira », explique alors Henri Pleimling dans nos colonnes, quand il est interrogé sur l'éventuelle annulation des finales à cause de l'aggravation de la situation sanitaire au Luxembourg : « J'ai entendu que le Relais pour la vie était annulé suite aux recommandations ministérielles (…) Si le ministère nous recommande d'annuler, on n'est pas fous, on annulera. » On est alors le vendredi 6 mars. On joue la dernière journée d'une deuxième phase un peu bâtarde, qui verra ...Cet article est réservé aux abonnés.
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