Le Conseil national pour étrangers (CNE) ne trouve toujours pas la sérénité nécessaire à la hauteur de sa mission. La ministre de tutelle, Corinne Cahen, envisage une réforme en profondeur.
Il n'y a rien à faire, le Conseil national pour étrangers (CNE), ne parvient toujours pas à fonctionner comme il le devrait et à remplir sa mission qui n'est pas des moindres dans un pays qui accueille près de 50 % d'étrangers dans sa population. La loi charge, en effet, le CNE d'étudier les problèmes concernant les étrangers et leur intégration en lui donnant la possibilité d'aviser des projets de textes législatifs ou de proposer lui-même une amélioration quant à la situation des étrangers. Visiblement, cet enjeu ne revêt pas l'importance qu'il mérite. Le CNE traîne des dysfonctionnements qui s'étalent en pleine lumière si bien que le ministère de tutelle, celui de la Famille et de l'Intégration sous l'autorité de Corinne Cahen, va prendre les choses en main. Les élus du bureau du CNE ont ...Cet article est réservé aux abonnés.
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