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Au Luxembourg, «nous plaidons pour une Europe sans arme nucléaire»


Raymond Becker est militant au sein de la Friddens- a Solidaritéitsplattform Lëtzebuerg (FSPL), une plateforme créée en 2018 pour promouvoir la paix et la solidarité. (Photo : archives lq/Julien Garroy)

Friddens- a Solidaritéitsplattform Lëtzebuerg milite pour le désarmement nucléaire. Pour la FSPL, les armes atomiques sont «totalement superflues» et représentent une grande menace plus qu’un gage de sécurité.

Raymond Becker est militant au sein de la Friddens- a Solidaritéitsplattform Lëtzebuerg (FSPL), une plateforme créée en 2018 pour promouvoir la paix et la solidarité. Dans la lignée du Mouvement pour la Paix, la FSPL soutient la charte de l’ONU et toutes les conventions concernant les questions de migration, de statut des réfugiés et de lutte contre le racisme. Elle agit aussi, entre autres, en faveur du désarmement, notamment nucléaire, et de la diminution des budgets militaires. Quelle est la situation actuelle en termes d’armement nucléaire ? Neuf pays détiennent actuellement l’arme nucléaire dans le monde. D’après le Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI), un institut de recherche qui dresse chaque année un bilan en matière d’armes nucléaires, début 2020, nous comptions 13 400 armes nucléaires, dont 90 % environ sont détenues par la Russie et les États-Unis. Surtout, près de 4 000 d'entre elles sont prêtes à être utilisées dans un laps de temps assez court et 1 800 armes nucléaires sont «en état d’alerte avancée permanent», c’est-à-dire utilisables immédiatement ! ...

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