Le jeune Luxembourgeois qui avait proféré en juin dernier des menaces de mort envers le Premier ministre a été condamné ce mercredi par le tribunal de Luxembourg à une peine de 15 mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve.
Pour rappel, le Premier ministre Xavier Bettel avait eu en juin dernier la mauvaise surprise de découvrir des propos haineux ainsi que des menaces de mort sur son compte Facebook de la part d’un individu visiblement opposé au référendum.
Cet individu se vantait d’être un «Nazi» et avait ouvertement déclaré dans un luxembourgeois très approximatif qu’au lieu de «voter 3 fois oui», il tirerait bien «3 balles dans la tête» du Premier ministre. Menace à laquelle Xavier Bettel avait répondu : «Même si nous ne sommes pas forcément d’accord sur un sujet, essayons de nous respecter mutuellement». Le message a bien entendu fait le tour des utilisateurs de Facebook avec plus des centaines de « partages » et des milliers de « likes ».
Cinq mois après avoir menacé le Premier ministre sur Facebook, le jeune homme de 21 ans qui avait publié un message haineux sur le mur Facebook de Xavier Bettel vient donc d’être condamné à 15 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve. Il devra également suivre un traitement psychiatrique.
Le Quotidien
Aquilino Morelle, Secretaire General de l’Elysee, a demisionne de l’Elysee en Septembre 2014 et a declare qu’il y avait une logique politique de nettoyage et purification ethnique a l’Elysee comme lors du Genocide au Rwanda.
Des milliers de francais ont quitte la France depuis l’arrivee du PS en 2012.
Jean Roucas, celebre humoriste francais, a declare debut 2015: Valls et ses SA, incendies et menaces de morts.
Quand ce sont les gouvernants politiques dans un pays qui organisent des menaces de morts contre les civils comme en France, aupres de qui les citoyens peuvent porter plainte ? c’est un peu comme quand la police francaise du gouvernement de Vichy dont le socialiste Mitterrand etait membre, a organise la Rafle du Vel d’Hiv direction les camps et le four crematoire, apres de qui les citoyens pouvaient porter plainte ?