La caissière licenciée en 2017 conteste avoir volé. Elle l’a répété à la barre du tribunal correctionnel. Mais son ex-employeur s’appuie sur les images de vidéosurveillance de la boutique…
«Tout ce qui est payé en cash ne figure pas dans le journal de caisse.» Les images des caméras de vidéosurveillance de la boutique proposant snacks, boissons, tabac et services Post, située dans une petite commune du centre du pays, défilent sur l’écran de télévision installé dans la salle d’audience. La gérante commente les séquences où, selon elle, la caissière tapait dans la caisse. «Elle n’a pas à faire toutes ces manipulations sur l’écran. Elle doit juste scanner l’article. La caisse s'ouvre, elle encaisse l'argent et c'est bon.»
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