Une fin de vie digne, la raison d’être d’Omega 90

Depuis 25 ans, Omega 90 promeut l’accompagnement des personnes atteintes de maladies graves ou incurables et de leur entourage.

Gérée par Omega 90, la Haus Omega propose des soins palliatifs afin d’alléger les souffrances des personnes en fin de vie. (Photos archives LQ/François Aussems)

« Promouvoir une culture de la vie en intégrant la réalité de la mort. » Telle est l’approche générale d’Omega 90.

Créée en 1990 et portée par six membres œuvrant dans le monde social (Amiperas ASBL, Croix-Rouge luxembourgeoise, Doheem Versuergt ASBL, Fondation Cancer, fondation Caritas Luxembourg et Stëftung Hëllef Doheem), l’association sans but lucratif reconnue d’utilité publique a pour objectif « de promouvoir des initiatives visant l’accompagnement des personnes atteintes de maladies graves, des personnes en fin de vie, de leur entourage ainsi que des personnes en situation de deuil ».

Omega 90, qui fête cette année ses 25 ans d’existence, honore sa mission de plusieurs manières. Elle propose des consultations psychologiques et sociales à des personnes atteintes de maladie grave et évolutive ou en fin de vie et à leur entourage, de même qu’à des personnes en situation de deuil.

Elle organise des formations en soins palliatifs pour les professionnels du domaine psychosocial et de la santé. Elle anime et forme également un réseau de bénévoles (une soixantaine) qui accompagnent des personnes en fin de vie. Et elle gère le centre de soins palliatifs Haus Omega, ouvert depuis la fin 2010 à Luxembourg-Hamm, qui dispose de quinze lits, financés par la Caisse nationale de santé (CNS).

Guillaume Chassaing

Article à lire en intégralité dans l’édition papier du Quotidien de ce jeudi.