Soulagé il y a une semaine, l'Horeca retrouve le pire avec l'instauration d'un couvre-feu à 23h.
Il y a encore une semaine, les restaurants, bars et cafés du pays étaient soulagés de voir le gouvernement demander plus de responsabilité individuelle à la population face au Covid-19 au lieu d'instaurer un couvre-feu, une mesure que les pays voisins avaient déjà prise. Quelques jours plus tard, les indicateurs sanitaires ont forcé les autorités à faire marche arrière et à instaurer un couvre-feu de 23h à 6h. Les professionnels accusent le coup, mais comprennent. « Cela semblait inévitable à la vue de l'explosion du nombre de cas. Je pense que c'est difficile de prétendre à maintenir les mesures sanitaires déjà en place alors que l'on est en train de vivre une nouvelle explosion. En revanche, la question qui va se poser, c'est l'impact réel du couvre-feu», interroge Gabriel Boisante, patron de plusieurs lieux festifs du pays comme l'Urban City, l'Urban Belval, le Mamacita, le Paname et le Bazaar. « On peut calculer le chiffre d'affaires entre 23h et minuit, mais l'impact réel ne va ...Cet article est réservé aux abonnés.
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