L’Agence spatiale luxembourgeoise (LSA) estime que l’exploitation des ressources spatiales pourrait générer d’ici à 2045 environ 170 milliards d’euros de revenus.
Selon une étude publiée jeudi par l’Agence spatiale luxembourgeoise (LSA), l’industrie de l’exploitation des ressources spatiales devrait générer 170 milliards d’euros de revenus entre 2018 et 2045, alors que dans le même temps les coûts liés au développement de cette industrie devraient diminuer avec les évolutions technologiques.
Cette semaine, Étienne Schneider, ministre de l’Économie, a souligné que depuis le mois de juillet 2017 et la création d’une législation nationale en lien avec la stratégie luxembourgeoise dite du «Space Ressources», 20 entreprises du secteur spatial se sont établies au Grand-Duché, contribuant à la création de 70 emplois directs. Le ministre estime que d’ici à 2020, «si les entreprises concernées se développent comme attendu, cela devrait générer quelques 400 nouveaux emplois.»
Jusqu’à 1,8 million d’emplois
Le condensé de l’étude précise que l’utilisation des ressources spatiales devrait générer des avantages socio-économiques dans trois domaines principaux au niveau mondial. Le premier est l’utilisation des ressources spatiales elle-même, qui devrait générer un chiffre d’affaires de 73 à 170 milliards d’euros sur la période 2018-2045, tout en contribuant à l’emploi. L’étude va jusqu’à avancer le chiffre de 845 000 à 1,8 million d’emplois à temps plein.
Le deuxième domaine concerne les retombées de connaissances et de technologies représentées par les développements technologiques associés aux chaînes de valeur des ressources spatiales, qui devraient englober plusieurs domaines techniques, tels que la science des matériaux, la fabrication, la fabrication additive, la robotique et l’analyse de données. Il est prévu que ces retombées seront de l’ordre de 2,5 milliards d’euros sur 50 ans. À noter que l’étude met en avant l’évolution technologique qui fera baisser les coûts pour les utilisateurs finaux de l’exploitation des ressources spatiales, notamment par le biais de gains d’efficacité notamment au niveau des combustibles, du maintien de la vie dans l’espace et du matériel destiné à l’équipement et aux infrastructures. L’étude situe cette réduction des coûts 54 et 135 milliards d’euros.
Pour terminer, l’étude estime que les chaînes de valeur des ressources spatiales devraient comporter des effets plus larges en apportant une contribution importante aux avantages sociaux et stratégiques en permettant l’exploration et au développement de l’espace, ainsi qu’à certaines contributions aux avantages environnementaux en réduisant la dépendance aux ressources limitées de la Terre.
Jeremy Zabatta
Ceux qui croient au pace mining devraient apprendre a calculer…
Monsieur Rannou
je ne comprends pas votre réponse ( à calculer quoi ?)
oui le mining et refining dans notre system solaire planets et asteroids n’est pas EASY MONEY
contraitrement au marketing puissant et attractif des Agences
on doit reinventer la chimie des plasmas pour le Deep Space
on s’en occupe avec nos brevets Luxembourg- US -Japan etc….
http://www.glycanspaceXR-Agency.com
http://www.space-debris-remediation
bon courage
Dr christian Daniel Assoun
CEO
contact: glycanspaceXR-Heliotorr@glycangroup.com
tel Genève 0041 22 700 58 73- 0041 792137718