Le web se paie la tête de la statue complètement ratée de Ronaldo

L’hommage a vite été tourné en ridicule… La statue en bronze en l’honneur de Cristiano Ronaldo, installée à l’aéroport de Madère qui porte désormais le nom de la star, est devenue la risée du web. Il faut dire que la sculpture est complètement ratée.

L’aéroport de Madère, île natale de Cristiano Ronaldo, a été rebaptisé mercredi en l’honneur du quadruple Ballon d’or et capitaine de l’équipe du Portugal. Pour marquer le coup, une statue du visage de CR7 a été réalisée spécialement et dévoilée au public. Problème : le résultat est catastrophique. Déjà loin de ressembler à son modèle, le bronze affiche en outre des traits peu flatteurs.

De quoi provoquer la risée des internautes, dont certains se sont amusés à parodier l’image sur Twitter avec le hashtag #RonaldoBust. Parmi les détournements les plus savoureux, celui de @superzappeur qui a réutilisé la photo devenue culte du Portugais avec son expression plein d’effroi lors de l’Euro 2016.

Moi quand j’ai vu à quoi ressemblait le buste de Cristiano Ronaldo. pic.twitter.com/AOmEE2OT7K

— Super Zappeur (@superzappeur) 29 mars 2017

Ou encore @ZeBigLeBoris, imaginant que le sculpteur n’est autre que Lionel Messi, grand rival de Ronaldo.

Le sculpteur de la statue de Ronaldo dévoile enfin son identité … #RonaldoBust #RonaldoStatue pic.twitter.com/0QQqYAPtlh

— Boris (@ZeBigLeBoris) 30 mars 2017

D’autres, à l’instar de @FrankMcCourtoff, pensent qu’il y erreur sur la personne et qu’il s’agit en réalité de… Franck Ribéry.

L’aéroport Cristiano Ronaldo a été inauguré à madère avec la statue de Franck Ribéry pic.twitter.com/AxihIGkJh7

— Frank McCourt (@FrankMcCourtoff) 29 mars 2017

CR7 « a aimé ce qu’il a vu »

Le véritable créateur du buste, Emanuel Santos, a ardemment défendu son œuvre dans la presse et assure que le footballeur « a aimé ce qu’il a vu ». Pour se justifier, l’artiste estime qu’ « il est impossible de plaire au Grecs et aux Troyens. Même Jésus ne plaisait pas à tout le monde. » Et qu’au final, « c’est une question de goût ». Une conception quelque peu discutable, tout de même…

Le Quotidien