Contrainte de se réinventer en raison du virus et des mesures sanitaires toujours restrictives, la Kulturfabrik réinvestit son site et se plaît à rêver d'un été culturel en plein air.
Après les gestes barrières, la Kulturfabrik, en cet été naissant, en propose d'autres : une main sur le front en guise de visière, et le regard inquiet, pointé vers un nuage menaçant. Une mimique qui, pour les plus rodés, s'accompagne même d'une remarque sur les prévisions météorologiques… Oui, comme d'autres compères d'infortune (Rotondes, Neimënster…), elle espère aussi que le ciel sera clément les deux prochains mois. Sinon, ce serait doucher sa nouvelle intention, ambitieuse : imaginer la «Fabrik de Demain». Car pour son directeur René Penning, qui vient juste de prendre le relais de Serge Basso, le virus qui rôde n'a pas fini de tourmenter le milieu culturel : «Très tôt, on ...Cet article est réservé aux abonnés.
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