Été 85, le 21e long métrage de François Ozon, sort ce mercredi en salle. Une histoire d'amour euphorique et solaire pour un film que son auteur aurait sans nul doute aimé voir, adolescent, au cinéma.
En 1985, François Ozon a dix-sept ans et est déjà passionné de cinéma. Il tourne quelques films en amateur, avec une caméra Super 8; une passion qui va l'amener, à peine trois ans plus tard, à réaliser ses premiers courts métrages et s'inscrire en fac de cinéma. Mais durant cet été 1985, Ozon met la main sur un livre, Dance on My Grave (La Danse du coucou, en français), écrit par l'Anglais Aidan Chambers et publié en 1982. «Un coup de foudre» selon le cinéaste, qui découvre une œuvre où l'émotion découle de la simplicité de l'histoire et où l'homosexualité – encore illégale en Grande-Bretagne à l'époque où Chambers écrit son ...Cet article est réservé aux abonnés.
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