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[Critique BD] Goldorak reprend du service


Ce "Goldorak" est à voir comme une suite logique de la série animée et un hommage teinté de nostalgie, 43 ans après les premières batailles menées contre l’Empire de Véga. (illustration éditions Kana)

C’est le héros de toute une génération, et celui qui a permis à la culture manga de s’imposer en Europe. Goldorak, 43 ans après ses premières batailles, est de retour avec une BD 100% française teintée de nostalgie. Culte.

Si le geste n’est pas toujours une réussite, avouons que cette mode de ressusciter des héros d’antan a du charme. Sous l’impulsion de nouveaux auteurs et illustrateurs, ceux-ci gagnent en effet en épaisseur et en maturité, tout comme l’histoire, souvent moins manichéenne et préoccupée par les enjeux actuels. Une renaissance qui, cette année, touche le plus grand de tous les robots de l’espace : Goldorak.

Une modernisation «100% française», portée par les éditions Kana, qui s’impose d’ailleurs dès la couverture : on y découvre, posé dans la main de son imposante machine, un Actarus qui a troqué sa veste à franges pour une en cuir, avec barbe de hipsters à l’appui et regard ténébreux. Le temps de la ferme, du cheval et du pantalon «patte d’éléphant» semble loin. ...


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