Avec Pompeii, qui sort ce vendredi, Cate Le Bon saisit l’atmosphère du moment, bizarre, inquiétante, étouffante.
D’emblée, une précision : avec Cate Le Bon, il faut accepter de se perdre, d’oublier ses repères géographiques et temporels pour mieux se laisser guider par cette Galloise au charme toxique. D’ailleurs, qui refuserait de tendre la main à cette sainte à l’habit blanc immaculé, comme elle se présente sur la pochette de son sixième album, façon mi-icône, mi-Jeanne d’Arc ? À l’écoute de l’évasif Pompeii, l’impression se vérifie sans détour. Sa pop ...
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