Accueil | Actualités | Disneyland Paris : le suspect en garde à vue, ses proches entendus

Disneyland Paris : le suspect en garde à vue, ses proches entendus


L'homme de 28 ans, converti à l'islam, avait été arrêté après avoir été repéré à son arrivée à l'hôtel New York, où il avait une réservation. (Photo AFP)

L’homme arrêté jeudi dans un hôtel de Disneyland Paris, en possession de deux armes et d’un Coran, était toujours en garde à vue vendredi. Sa compagne et sa mère ont également été entendues.

Face aux enquêteurs, l’homme a affirmé qu’il « gardait avec lui ses deux pistolets automatiques de petit calibre qu’il a depuis longtemps, pour ne pas les laisser au domicile de sa mère à Paris, où il vit en ce moment », a indiqué une source policière, confirmant des informations de presse. Entendue par les policiers, sa mère a confirmé ces déclarations, expliquant qu’il vivait chez elle avant de partir vivre en province. Sa compagne, qui était recherchée et devait elle aussi séjourner dans l’hôtel New York près du Disney Village, a également été auditionnée dans la nuit de jeudi à vendredi par les enquêteurs.

Dans un premier temps, l’homme avait déclaré aux policiers qu’il était armé car il craignait pour sa sécurité, selon une autre source policière. Cet homme de 28 ans, converti à l’islam, avait été arrêté après avoir été repéré à son arrivée à l’hôtel, où il avait une réservation. Ses armes ont été détectées à leur passage dans un détecteur à rayons X. Sa valise deux armes de poing, un Coran et des cartouches. Appelée sur les lieux, la police l’avait arrêté jeudi en début d’après-midi avant de le placer en garde à vue.

Alors que la France est sous la menace d’attaques jihadistes après les attentats de 2015, les premiers éléments de l’enquête ne semblent toutefois pas s’orienter vers une piste terroriste.

PUBLIER UN COMMENTAIRE

*

Votre adresse email ne sera pas publiée. Vos données sont recueillies conformément à la législation en vigueur sur la Protection des données personnelles. Pour en savoir sur notre politique de protection des données personnelles, cliquez-ici.