La rentrée approche et avec elle, une grande question : l'engouement «post-Covid» pour le vélo va-t-il se prolonger? À la Vëlosbuttik de Differdange, on parie sur un grand «oui».
Jamais Haico n'aurait imaginé ça. «Quand on a rouvert après le confinement, dès le premier matin… il y avait une queue sur tout le trottoir devant le magasin.» L'envie de bouger, certainement, et la crainte d'affronter le virus dans les transports en commun. «C'était une folie, poursuit le mécano en chef de la Vëlosbuttik de Differdange. Pas que chez nous d'ailleurs : les autres magasins ont été dévalisés aussi.» Dans les files d'attente, des familles qui retrouvaient l'envie d'un loisir en plein air. Mais «incontestablement», insiste Haico, «des gens qui voulaient un vélo pour se déplacer au quotidien. Aller faire les courses dans le quartier, aller au boulot…» L'engouement connu ...Cet article est réservé aux abonnés.
Pour profiter pleinement de l'ensemble de ses articles, vous propose de découvrir ses offres d'abonnement.