Envie de se dépasser sans aller à la guerre ? C’est la promesse du boot camp, cette activité importée au Luxembourg par Lucky Dialo, le Mister « Fit » du sud du pays.
On l’imagine mal hurler comme dans le monologue du Sergent-instructeur de Full Metal Jacket. Et pour cause, il ne hurle pas. « Le boot camp ce n’est pas la guerre, c’est juste une question de dépassement de soi. » Lucky Dialo parle cinq langues, dont le luxembourgeois. On peut apercevoir sa carrure dans ...Cet article est réservé aux abonnés.
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