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[Cinéma] «Pleasure» dissèque l’industrie du porno


Sofia Kappel, qui n’avait jamais été actrice avant Pleasure, a été choisie par la réalisatrice, Ninja Thyberg, parmi 600 filles. (Photo : the jokers films)

Le premier long métrage de la réalisatrice suédoise Ninja Thyberg frappe fort : avec Pleasure, elle plonge le spectateur dans l’univers du porno, sans tabous ni concessions. Et pose un regard honnête pour en déconstruire les artifices et les préjugés.

Tout a commencé il y a près de dix ans en Suède. Pour son nouveau court métrage, Ninja Thyberg veut explorer l'univers du film pornographique, ou plutôt, ses coulisses. Quand la caméra est éteinte, on répète, on discute, on entend circuler des rumeurs... Le film s'appellera Pleasure, avec toute l'ambiguïté que l'on peut prêter au contexte, et sera présenté à Cannes en 2013. Son point de départ est à trouver dans les réflexions militantes de la cinéaste de Göteborg, mais celle-ci, qui a très vite envisagé d'en faire un long métrage, a pris le temps de se «confronter à ce monde» pour en observer la réalité.

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