Avec l’ouverture du 11e LuxFilmFest qui s’est faite en salle et devant un public, le Luxembourg montre l’exemple. Mais le format hybride continue de questionner…
Le temps qui a séparé l’inauguration de la dixième édition du LuxFilmFest et celle, jeudi soir, de la onzième, a paru compter double. Triple, même, quand la capacité de la salle de cinéma s’est vue réduite d’autant, sinon plus. Les visages bien connus sont apparus à moitié dissimulés sous le masque de rigueur et les phrases semblaient toutes faites. Quand on a déjà tout dit, les mots n’ont de valeur que pour l’ornement... Ainsi, la présidente du jury, Sandrine Bonnaire – présente là où on a l’habitude de la voir : sur grand écran, par le biais d’un message vidéo – a rappelé que malgré «ces conditions particulières, le cinéma continue d’exister», tandis que la ministre de la Culture, Sam Tanson, a introduit son discours par un «Quelle drôle d'année...» qui a décroché ...
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