En avril, quand il a créé Un monde meilleur – Luxembourg, Fabio Neves croulait sous les appels à l'aide de travailleurs en difficulté. Après une accalmie, ils se multiplient à nouveau.
«Je viens vous demander votre aide pour une maman seule avec quatre enfants. Cette famille ne possède rien. Elle vit dans un logement vide et dort à même le sol.» «À la veille de Noël, un jeune couple avec un enfant nous demande de l'aide. Je vais acheter quelques aliments essentiels. Si vous avez des habits pour fille et quelques jouets, n'hésitez pas, je passe ramasser encore aujourd'hui.» «Nous venons vous demander de l'aide pour un enfant de deux ans, car ses parents sont dans une situation délicate due au retard des salaires. Nourriture et produits pour l'enfant sont les bienvenus.» Ce type de messages se suivent et se ressemblent sur la page Facebook d'Un monde meilleur – Luxembourg depuis le début de la crise sanitaire. Derrière cette page, un groupe de 2 200 ...Cet article est réservé aux abonnés.
Pour profiter pleinement de l'ensemble de ses articles, vous propose de découvrir ses offres d'abonnement.