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La pétition qui dit « non » au luxembourgeois devrait atteindre les 4 500 signatures


La contre-pétition, qui s’oppose aux revendications des défenseurs de la langue luxembourgeoise, compte ce dimanche plus de 3 100 signatures. Elle restera encore ouverte jusqu’au 6 décembre et le seuil des 4500 signatures, nécessaires pour obtenir un débat public, devrait donc être atteint. (Photo : Archives LQ)

La pétition qui dit « Non à la langue luxembourgeoise comme première langue officielle en matière administrative et judiciaire » devrait atteindre les 4 500 signatures nécessaire pour obtenir un débat public.

La contre-pétition, qui s’oppose aux revendications des défenseurs de la langue luxembourgeoise, compte ce dimanche plus de 3 100 signatures. Elle restera encore ouverte jusqu’au 6 décembre et le seuil des 4500 signatures, nécessaires pour obtenir un débat public, devrait donc être atteint.

Intitulée « NON à la langue luxembourgeoise comme première langue officielle en matière administrative et judiciaire » et lancée par Joseph Schloesser, cette pétition 725 défend l’ouverture du pays :

« Nous devons, comme nous l’avons toujours fait, rester ouverts envers les autres et ne pas nous refermer sur nous-mêmes. Notre pays a toujours eu et aura toujours un grand besoin de main d’œuvre étrangère. Ces travailleurs résidents et frontaliers représentent, actuellement, près de 72% de la population active contre 28% de Luxembourgeois. Nous avons le devoir et il y va de notre intérêt, à tous, d’accueillir ces personnes dans les meilleures conditions. Il est essentiel que le contact s’établisse dans une langue compréhensible pour tous et les formulaires administratifs et autres documents officiels devront être rédigés, dans l’une des trois langues, obligatoires, enseignées à l’école. »

Le Quotidien

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